La condition de « détresse » des élèves demandant une contraception d’urgence dans les collèges et lycées, jusqu’ici exigée par la loi, est désormais supprimée. Cette décision prise par Marisol Touraine est officielle depuis le 28 mai 2016.
Selon la ministre de la Santé, cette mesure « permettra de réduire les délais d’accès à la pilule du lendemain et de faciliter le recours à celle-ci dans les établissements du second degré ».